La moindre des intelligences ou tout simplement de sagesse commande, quand on a utilisé une façon de faire pendant plus de 10 ans et que le Maire en place refuse de comprendre ses devoirs vis à vis de la commune, et qu’il n’en a eu cure, répondant toujours avec un cynisme mépris et une propension à humilier, de se résoudre à l’évidence que la patience ou l’indulgence comme on voudra, devient une complicité objective. Il s’agit tout simplement d’établir l’évidence.
Traumatisée par la longue tradition de violence de ce pouvoir, l’opposition a maquillé la couardise en obsession de paix. Cette démission procède de la non-assistance de peuple en danger pire, délivre à ce pouvoir le plus obscurantiste du Sénégal, le droit d’assujettir une commune.
Tout ce requiem est exécuté par un pouvoir dont les bourreaux qui occupent la mezzanine traitent nos populations d’ingrates personnes et leurs petites mains qui occupent la terrasse, continuent à étrangler des concitoyens déjà à bout de souffle, afin d’obtenir leur approbation, le couteau sous la gorge.
C’est le devoir de tout citoyen de mettre un terme à ce supplice. Les citoyens des communes de Dakar Plateau, Mermoz ou même de Golf ont le même amour de la vie que nous, simplement ils ne transigent pas sur la dignité, une vertu que nous avons perdus et qu’il faut restaurer.
Même si nous n’attendons plus grands chose de l’opposition actuelle qui ne brille pas par une exemplarité et un courage indéfectible, nous ferons de notre mieux pour ne pas nourrir nos réflexions de la désillusion et de la chape inexpiable de honte qu’elle fait porter à un peuple qui a fait plier le promoteur des antivaleurs dans son histoire récente.
Pour résoudre cette énigme, nous travaillons sans relâche pour décoder tous les messages de nos jeunes qui ne demandent qu’à agir, afin que leurs aspirations inspirent chacune de nos décisions, chacun de nos projets.
Nous exhortons donc la jeunesse parcelloise, la précieuse relève, à tenir bon.
Nous nous engageons ce jour à bâtir une société à son image.
En définitive, la survie de notre commune dépendra de la place que notre jeunesse occupera dans le nouvel édifice que nous prenons l’engagement de construire avec elle.